CITROËN TRACTION AVANT 22 CV V8, la plus légendaire des Traction.

Au royaume des voitures anciennes, il y a les carrosseries spécifiques, mais aussi les modèles rares au départ, les modèles fragiles et ceux devenus rares… et puis il y a les mythes, ceux que personnes n'a jamais vu, ou presque. La Traction 22cv fait assurément partie de cette catégorie.

La Traction 22 présentée au Salon de Paris de 1934 est probablement la Citroën qui fait le plus fantasmer, et pour cause ! Le modèle de pointe du Quai de Javel a-t-il eu droit à une petite production à l'époque, avant le rachat par Michelin de la firme ? En existe-t-il encore ne serait-ce qu'un exemplaire ? Les rumeurs les plus folles ont parfois circulé, mais personne ne sait plus...
 
En 1934, André Citroën décide de lancer une voiture d'avant-garde à la structure monocoque, un châssis surbaissé et des lignes élancées, mais surtout à traction avant. Une révolution ! Mais voilà, les clients ne suivent pas tout de suite l'enthousiasme de la presse : elle a peur d'essuyer les plâtres, et les commandes n'entrent pas en nombre suffisant pour assurer une situation viable à l'entreprise. En décembre 1934, Michelin rachète alors l'affaire, et applique dans la foulée un plan d'austérité sévère,  et exit la dispendieuse 22 CV V8.
 
Le V8 Citroën est issu de l'association de deux moteurs de 11 (2 x 11 = 22 bien entendu), disposés en V. Capable de produire quelques 100 chevaux, tandis que le V8 Ford n'arrive qu'à 85 chevaux, il permettait via la boite à 3 rapports seulement d'atteindre par exemple la barre très élevée pour l'époque des 140 km/h, soit au moins 10 de plus que la concurrence. Citroën la présente d'ailleurs dans son catalogue comme étant « la voiture de série la plus sure et la plus rapide du monde ». Peu de gens auront pourtant été capables de le vérifier. En effet, en octobre 1934, la voiture n'est pas encore au point et le constructeur se refuse à en confier le volant à quiconque. Or, sa mise au point sera stoppée trois mois plus tard…

En  octobre 1934 pourtant, elle était la star incontestée et incontestable du stand Citroën au Salon de l'Automobile de Paris. Elle s'y présentait en Berline, Familiale 6 glaces et Cabriolet, nous les voyons sur ces clichés ci-dessous.


Le Faux-Cabriolet (coupé) lui, n'a pas été du voyage, par manque de place sur le stand, mais il  était possible de l'admirer dans le magasin Citroën de la Place de l'Europe.  


Si une vingtaine d'exemplaires de pré-série ont été fabriqués et certains vendus à une clientèle triée sur le volet, la production en série n'a pas véritablement démarré. Cette mystérieuse voiture demeure un mythe chez les amateurs de la marque au double-chevron.


Deux journalistes, Hervé Laronde et Fabien Sabatès, ont réalisé en 1994 un ouvrage de référence de cent quatre-vingt pages comportant de nombreuses informations et documents inédits : « La 22, enquête sur une mystérieuse Citroën »(Rétroviseur, Paris 1994).

 
La 22 Berline Prototype gris ailes noir 1934 UNIVERSAL HOBBIES 1/43 Atlas - "La Saga des tractions" Réf. : 84950708 - 2005


La 22 Berline Prototype gris ailes et cache-roues noir 1934 UNIVERSAL HOBBIES 1/43 Atlas - "Passion Citroën" N° : 39 - 2006

 
La 22 Berline Prototype vert métallisé 1934 NOREV 1/43 Réf. : 152002 - 2004

   
La 22 Cabriolet Prototype rouge "sang de boeuf" 1934 1/43 Atlas - "La Saga des tractions" Réf. : 84950761 - 1995

 
La 22 Cabriolet Prototype noir aménagement intérieur rouge 1934 NOREV 1/43 Réf. : 152012 - 1994

La 22 Faux Cabriolet Prototype vert intérieur crème 1934 NOREV 1/43 Atlas - "La Saga des tractions" Réf. : 84950807 - 2005

La 22 Familiale Prototype Beige 1934 NOREV 1/43 NOREV Collection Réf. : 152026 - 2005

Je vais compléter ce petit tour d'horizon de la 22CV miniatures avec quelques unes sorties de ma tractiothèque.

A tout seigneur, tout honneur, les magnifiques modèles de chez DEVOS, années 80:


22 CV Berlines, à gauche modèle bronze, réf 16, avec boite à musique, mouvement de N.Beney (Yverdon, Suisse),
à droite berline grise à ailes noires, réf. A (existe aussi en bleu clair / ailes noires et beige / ailes noires)


22 Cv Limousine, noire, réf B.
22 CV cabriolet, rouge, réf C. (existe aussi capoté, toujours rouge)


22 CV Coupés, réf C2 -hors série, ivoire avec ailes marrons et bleu de prusse avec pneus à flancs blancs.


Les modèles de la collection NOREV "Ligne Noire 92" du début des années 90:


22 CV coupé, bleu turquoise, réf. 15.2016
22 CV berline, gris anthracite irisé, réf. 15.2001


22 CV cabriolet, vert irisé, réf. 15.2013
22 CV berline, vert irisé, réf. 15.2000


22 CV berline, gris perle, coffret Grand Palais, 1000 exemplaires, réf. 15.2099
22 CV cabriolet, ivoire, réf. 15.2011


22 CV cabriolet, noir, réf. 15.2012
22 CV familiale, noire, coffret Grand Palais, 1000 exemplaires, réf. 15.2099


22 CV cabriolet, bleu clair, réf. 15.2010
22 CV cabriolet, rouge, coffret Grand Palais, 1000 exemplaires, réf. 15.2099


22 CV familiale, marron irisé, réf. 15.2005
22 Cv familiale, bleu marine, réf. 15.2006


22 CV coupé, beige maintenon, réf. 15.2015

Les rééditions de NOREV dans la collection "Coffret Collection Norev" des années 2000


22 CV berline, bleu de prusse, réf. 15.2002


22 CV cabriolet, noir, réf. 15.2012
22 CV cabriolet, bleu clair, réf. 15.2017


22 CV coupé, bleu turquoise, réf. 15.2007
22 CV familiale, marron irisé, réf. 15.2026
Noter le prix catalogue inscrit sur le pare-brise

et les rééditions pour la presse avec le cabriolet rouge présenté par Alain ci-dessus et:


22 CV coupé, noir, Saga des traction, réf. L 12431-69
22 CV coupé, vert pomme, Saga des traction, réf. 0849.50.807


22 CV cabriolet décapoté, bleu de prusse, Hachette - Voitures françaies de collection, réf. 927-46F
la version capotée est un montage personnel

les Modèles édités par HECOMODELS dans la fin des années 80


22 CV familiale, marron, réf. 85M
22 CV cabriolet, gris, réf. 84M


22 CV faux-cabriolet, gris, réf. 112M, le bicolore est un montage de la version en kit

Les modèles de chez STL, milieu des années 80


22 CV berline, grise


22 CV cabriolet, rouge


22 CV faux-cabriolet, blanc


22 CV faux-cabriolet, rouge


22 CV faux-cabriolet, vert

et enfin, sortie par NOSTALGIE récemment, ( même moule que les deux modèles UH gris à ailes noires et bleu clair à ailes noires présentés par Alain ci-dessus )

22 CV berline, bordeaux et ailes noires, réf. N105

Puisque Pierre Édouard a évoqué le coffret “Grand Palais” pour les Traction-Avant 22 CV de Norev, je ne pouvais ne pas vous faire partager un article glané dans l’AUTOMOBILE MINIATURE N° 108 de 1992 !


Le Salon de l’Automobile de Paris 1934 reste gravé dans la mémoire des collectionneurs comme un événement majeur : cette année-là, Citroën fait sensation en présentant la 22 CV. Personne ne sait encore qu’elle va devenir mythique, mais avant de découvrir la reproduction de cette voiture intéressons nous à son écrin...

Le Grand palais, un cadre prestigieux pour l’automobile :

C’est en 1901 que, pour la première fois un Salon de l’Automobile se tient sous la nef du Grand Palais. Après avoir côtoyé les bicyclettes, tricycles et tandems pendant quelques années, notamment au cours d’expositions organisées dans le jardin des Tuileries, la toute jeune automobile trouve enfin un lieu digne de ses ambitions... c’est le succès. En 1904, on compte plus de 350. 000 visiteurs ! Le Grand Palais constitue un cadre majestueux dans lequel les constructeurs rivalisent de luxe et de soin. Voitures spécialement préparées, épais tapis et débauche d’éclairage électrique, tout contribue à créer une ambiance de fête. Et comme la sonorisation n’existe pas encore, on n’hésite pas à faire appel aux orchestres !

D’année en année, et jusqu’en 1962 où le Grand Palais sera abandonné au profit du Parc des Expositions de la Porte de Versailles, le majestueux bâtiment va accueillir de plus en plus de visiteurs. De grands décorateurs comme Granet habillent les structures métalliques et soignent les éclairages, avec des lustres monumentaux. Certaines éditions seront plus impressionnantes que d’autres et André Citroën, toujours friand de publicité, est l’un de ceux qui accorde à cette manifestation toute l’intention qu’elle mérite. En 1926, par exemple, il n’hésite pas à faire stationner place de la Concorde, à deux pas du Salon, cinquante B 14, mises à la disposition des futurs clients pour des essais gratuits. En 1933, il expose la Petite Rosalie, qui vient de battre le record des 300. 000 km. à Montlhéry. En 1934, c’est l’apothéose...


1934 : la “22” ou l’apothéose de Citroën :

Pour la firme de Javel, c’est le moment de jouer son va-tout. Les difficultés financières sont très graves, mais depuis le printemps, les premières “7” à traction avant sont livrées aux clients. Certes, leur mise au point est critiquable, mais la somme d’innovations techniques est telle qu’elle peut faire oublier quelques ennuis de jeunesse...
André Citroën décide d’aller toujours plus loin et il va étonner le monde. Les badauds qui attendent l’arrivée des voitures devant le Grand Palis, quelques jours avant l’ouverture de l’exposition, sont bien sûr venus pour voir de près la “7” dont on parle tant... Mais ils découvriront avec surprise la “11”... et la “22” !

Un dépliant spécial est édité où les nouveautés sont bien visibles, au milieu des différentes versions de la “7” et, grâce à Norev, cet événement revit en 1992 dans les vitrines des collectionneurs avec un coffret qui réunit les trois 22 CV, reines du Salon 1934.
Le fond du coffret et les côtés, en carton imprimé, reproduisent les structures métalliques du Grand Palais, qui témoignent d’une époque architecturale. C’est un style audacieux, à la fin du 19 ème siècle, où se mêlent la pierre, les sculptures, le verre et les immenses arcs d’acier... La partie frontale, en plastique transparent, rappelle la fameuse verrière. Sa structure est figurée en sérigraphie et l’effet obtenu est très réaliste. Ce coffret convient aussi bien à ces trois miniatures que le Grand Palais aux trois seules “22” dont on puisse affirmer l’existence.

La “22”, animée par un moteur à huit cylindres en V développant environ 100 chevaux, aurait pu devenir la plus prodigieuse voiture française. Sur les tapis du Grand Palais, et sur le sol en carton rouge et gris du coffret qui imite justement ces tapis, trois modèles sont présentés : une berline, une limousine et un cabriolet... Norev a respecté la vérité historique... Les coloris choisis sont ceux que l’on connaît pour les vraies voitures : berline grise avec l’intérieur gris clair, limousine noire avec intérieur gris, cabriolet avec capote baissée rouge et intérieur beige. D'après quelques documents photographiés d’époque, il semble bien que les ailes de la berline aient été noires, mais leur réalisation aurait été trop difficile au 1/43 (à l’époque !), et l’on excusera bien volontiers Norev pour ce petit détail, d’autant que ces trois miniatures sont quasiment parfaites.

Les carrosseries en résine sont d’une fidélité remarquable, et la qualité de leur peinture a recueilli tous les suffrages. Le dessin des phares, l’une des caractéristiques les plus apparentes de la “22”, est parfait, avec un entourage métallisé, un verre jaune et une petite grille inférieure d’une grande finesse. Quant à la calandre, elle a fait l’objet de tous soins de Norev. Son entourage est en matière plastique métallisée, avec des grilles rapportées en plastique noire et des double-chevrons placés derrière la grille. Le “8” symbole du moteur V 8, est bien visible. Les roues sont tout aussi fidèles, avec un “Jantex” (cercle chromé recouvrant le bord de la jante) métallisé, un voile de la couleur de la carrosserie et un enjoliveur métallisé. L’entourage du pare-brise, avec les essuie-glaces, est métallisé à chaud. Le châssis, comme sur toutes les miniatures de la Ligne Noire de Norev, est moulé en zamac.


Vous disposez de clichés en couleur de ces miniatures signés Pierre Édouard, ci dessus

Ces trois miniatures livrées dans les mêmes coloris que les vraies et historiques “22” du Salon de l’Automobile 1934, constituent une sorte de mémorial, à la plus grande gloire de la firme au Double Chevron. Les berline, limousine et cabriolet que Norev a commercialisé individuellement dans la série “Ligne Noire” ont des robes d’autres couleurs et Norev a fait mieux que Citroën puisque toutes les versions prévues par le constructeur dans la gamme “22” ont vu le jour au 1/43 ème, alors que l’on ne les a jamais vues dans la réalité.


Ce coffret, produit en série limitée et numérotée, apportait une nouvelle dimension à la collection de voitures miniatures. Ce n’était plus seulement de reproduction fidèle de la véritable automobile qu’il convenait de parler, mais de mise en perspective historique. L’automobile participe à un événement... le modèle réduit en perpétue le souvenir, y compris par sa présentation, et chaque collectionneur peut depuis lors posséder, dans sa vitrine, un petit morceau du Grand Palais. Un lieu symbolique indissociable de l’histoire de l’automobile.

Autre photo du Salon 1934 montrant des Traction Avant 22 CV :


Une maquette de ce salon existe, n'est-ce pas Pierre-Edouard ?

A tantôt
Alain

bon, puisque l'on me la demande, la maquette du salon 34, élément complémentaire de la collection prestige de la Saga des traction



et avec les traction concernées

Certains douteraient de la provenance des clichés montrant ces voitures et considéreraient celles-ci comme des "Arlésiennes". Cependant, en cherchant bien, on en retrouve trace même en dehors du territoire national. Comme ici au salon de Bruxelles 1934 :


Alain

Bonjour à tous,

Je me suis toujours posé la question sur les couleurs réelles des 22CV,que ce soit en Berline,limousine,cabriolet ou coupé.

Quelqu'un saura t'il m'apporter une ou plusieurs réponses ? merci par avance.

Il est fait également état d'une éventuelle 14CV (deux moteurs de 7CV) pur fantasme ou réalité ?

Les couleurs sont mentionné plus haut dans le texte…
Le cabriolet était rouge, la berline grise, le coupé et limousine noir…

Parcontre, ce limousine de la marque “ Yesterday Models “ en 1:48, porte les couleurs de la berline !

Merci Denis pour ta confirmation. Concernant un hypothétique "vert bouteille foncé" ou un "vert irisé" , simple imagination ?

concernant, la 14CV, les avis divergent, la question reste posée .

Bonjour Denis, Sylvain et tous les autres,

je recherche mon catalogue en couleurs de la présentation de la 22 au salon de 1934 et je vous le poste

Officiellement, au niveau des couleurs, Citroën proposait le Bleu Jean Bart, l’Ombre Brûlée, le Gris Artillerie, le Rouge Moyen ou encore le Noir. Il s’agit toujours de couleurs unis mais il était possible, en option, de choisir n’importe quelle combinaison de couleurs (un ou deux tons) des autres versions de la Traction. La sellerie était de série en velours bleu marine, vert, beige ou gris foncé.

Au sujet de la 14 CV, il semble qu'il s'agisse d'un canular Rien n'étaie cette possibilité dans les archives Citroën Et puis, à quoi bon quand on dispose de la 15

Il faut aussi que je retrouve le livre André Citroën, Souvenirs d'une collaboration où M. Charles Rocherand raconte le moment où il a essayé un proto de 22 et qui dit pourquoi cette voiture n'a pas été développée

A tantôt
Alain

Bonjour Alain,

Merci pour ce complément d'informations concernant les couleurs du salon de 1934, c'est très intéressant.

Pour revenir à cette "14", il est souvent fait état d'un canular et/ou d'une "vérité" ! Maintenant quid de la réalité ? Les rares personnes ayant monté et essayer de
fiabiliser cette mécanique a très vite été abandonnée pour une raison structurelle,poids de l'ensemble mécanique, de la résolution des renforts des "jambons" et surtout
également pour une raison financière (Michelin oblige!)
J'ai lu dans un "livre relié" (qui comportait beaucoup de notes manuscrites) prêté par Lucien Loreille il y a quelques décennies,plusieurs pages évoquant le calcul de cylindrées du V8 Citroën avec les cotes d'alésages et de courses de la 7 et la 11 à l'unité (72 X 80) et (78 X 100) ce qui faisait 14CV et 22CV.

Il est souvent dit que les 22CV avaient été soit détruites, soit reconditionnées en 11 A (1935/1937) les autres modèles ayant des coques plus étroites !

La 15-six n'apparait que quatre ans après la 22 avec le même alésage et course de la 11CV soit (78 X 100) mais qui donnait 16CV fiscaux et non 15CV "commerciaux" !

Je me souviens que nous en avions discuté avec Lucien de la 22CV,il est possible qu'un V8 ait eu deux blocs de 7, question de fiscalité ? maintenant quid de la réalité!?

Toujours plus de questions que de réponses,et avec le temps je doute que l'on sache réellement un jour le fin mot de l'histoire ....

Bonjour Sylvain et tous les autres,

je suis d'accord avec "Toujours plus de questions que de réponses"

A ce sujet, j'ai lu de tout et de rien sur le net et dans des publications diverses où des "spécialistes" avaient des théories sur des hypothétiques connaissances. A ce rythme, on peut palabrer sans cesse sans avoir un zeste de savoir au sujet de cette mythique voiture

"avec le temps je doute que l'on sache réellement un jour le fin mot de l'histoire ...." et, pour moi, on arrêtera ici ces divagations sorties d'on ne sait où

Sauf à faire parler des fantômes, on sera ce qu'en dit Jérôme Collignon dans son étude La 22CV 1934 : derrière le 8 et l'article de La Traction Méditérranée avec son interview de Maurice Gomond qui a piloté une 22CV aux essais et qui rejoint Charles Rocherand qui a écrit ses mémoires chez Citroën et qui ne laissent, ni l'un ni l'autre, de doute sur la non faisabilité de la 22 en 1934

Alors, si vous le voulez bien, on arrête là les divagations et, on passe à autre chose… Restons en à la réalité vraie Excusez-moi mais, on n'est pas sur "caradisiac" où c'est à celui qui délire le plus qui a raison

A tantôt
Alain

En effet Alain,"toujours plus de questions que de réponses en effet", le lien "derrière le 8" de Jérôme Collignon est une synthèse qui me convient assez,c'est un raisonnement bien complet qui répond à pas mal de mes questions.

Le catalogue en couleurs sera le bienvenu, merci par avance.

Sylvain